L’infertilité : 5 questions que vous vous posez
L’infertilité est un sujet qui reste malgré tout tabou or ce dernier suscite de nombreuses questions ou d’incompréhensions. C’est la raison pour laquelle, nous allons répondre à 5 questions que vous vous posez sur l’infertilité. Gardez tout de même en tête que l’infertilité touche tant les hommes que les femmes et cela à part égale.
Les 5 questions les plus posées sur la fertilité
1. L’infertilité et la stérilité : la différence
L’infertilité désigne la difficulté à concevoir un enfant. A contrario, la stérilité représente l’incapacité totale à concevoir un enfant. L’infertilité est évoquée lorsque vous essayez de procréer avec des rapports non protégés pendant au minimum un an et que cela ne fonctionne pas. Pour vous donner une idée, 1 couple sur 6 est infertile.
2. L’infertilité est-elle héréditaire ?
D’un point de vue génétique, il n’existe pas de gènes provoquant une infertilité héréditaire. Cependant, des causes d’infertilité peuvent se transmettre de génération en génération. Par exemple, la ménopause précoce, l’endométriose ou encore le syndrome des ovaires polykystiques.
3. L’infertilité touche-t-elle uniquement les femmes ?
La réponse est non.
L’infertilité a souvent été attribuée directement à la femme sans se poser trop de questions. Au fil des années et du développement de la médecine, il est désormais important de signaler que l’infertilité peut toucher tant les hommes que les femmes.
Terminé l’idée de rejeter la faute sur la femme. Désormais, vous avez la possibilité de faire des tests médicaux afin de savoir si vous êtes fertile ou pas.
4. Des perturbateurs endocriniens plus nocifs que d’autres ?
Les perturbateurs endocriniens sont des substances que vous ingérez sans même le savoir dans certains cas et qui altèrent votre organisme. Il arrive que certains perturbateurs endocriniens impactent directement votre organisme et donc votre système reproducteur.
Certains perturbateurs endocriniens sont plus dangereux que d’autres comme le phtalate, l’atrazine, les dioxines ou encore les pesticides organophosphorés.
5. L’infertilité et la pollution : une conséquence ?
Ce n’est plus un secret, l’air que vous respirez est pollué par les émissions de carbone. Bien que des efforts soient mis en place, la question de l’environnement reste toujours d’actualité.
Et pour ne rien arranger, la pollution peut affecter votre système de gamétogenèse. Bien qu’il soit impossible de filtrer l’air ambiant, vous pouvez mettre en place certaines solutions afin de limiter cette pollution comme aérer votre maison 2 fois par jour, éviter les diffuseurs aromatiques.
Si vous désirez maximiser vos chances de tomber enceinte, n’hésitez pas à prendre un complément alimentaire pour la fertilité. Cela permet de réguler votre cycle hormonal et donc d’accroître vos chances de fonder une famille.